2014
FURIOUSFACTORY
1997
2011
LIRE
2010
CONTACT
La Vénus d’Hippocrate : un cheminement du cancer à l’Art en binôme avec Isabelle...  Très attachés à l’image de la Vénus, pour ce qu’elle représente et pour ses nombreuses représentations nous avons voulu l’associer au nom d’Hippocrate afin de la placer dans un contexte précis. Au delà de l’assemblage de deux noms, de deux idées, il y a la volonté de parler de ce qui ressort du parcours qu’a été celui d’Isabelle, de ce que nous avons vécu chacun de notre côté et ensemble. Bien que ce soit une situation très particulière, ce travail nous permet de mettre en commun nos expériences et nos ressentis et au travers de cette sculpture d’offrir une forme de témoignage. Nombreuses sont les Vénus décapitées ou sans bras… Ce morceau de Vénus peut exprimer le paradoxe d’un corps que l’on veut sauver en le mutilant, d’un être que tout un protocole déshumanise, de l’intimité perdue, d’une femme qui perd sa féminité… La Vénus d’Hippocrate c’est aussi une mise en perspective du serment. Quant au travail qui mène à cette oeuvre, c’est mettre des mots, compartimenter, exprimer sa colère, se détacher, se débarrasser, regarder de loin, analyser, continuer, offrir une lecture, prendre le dessus, vivre autre chose… 
PLUS DE DETAILS
GALERIE
HOME
Photos : Nicolas Quantin
<
1997
Église romane Sts Pierre et PaulL'intérêt premier était la mise en relation d'objets et de matières antagonistes, le brut et l'usiné, le solide et la lumière. Les éléments naturels et les objets usuels sont sortis de leur contexte et assemblés. Une fois l'objet mis en forme vient la mise en scène. Le lieu ouvre vers une nouvelle dimension. Chaque objet prend un sens nouveau. Les limites de la matière (les dimensions dérisoires de la sculpture par rapport à l'espace qui la reçoit) ne sont pas perceptibles : la lumière fait partie de l'objet, l'objet se fond dans l'édifice, l'ensemble est en adéquation, le tout forme une oeuvre.